Ce matin, réveillé une première fois vers 8h. Volets fermés, derniers jour de congés, fatiguée de la semaine passée, bref, pas envie de bouger, surtout pas de me lever. Je ferme les yeux, remonte la couette et retourne au profond pays des rêves.
Second réveil à 11h40 et oui, il faut bien ça quand on est en vacances. Cette fois, plus le choix, il faut affronter la dure réalité et se remuer un peu les fesses. P'tit dej', douche mais toujours pas envie de faire mon apparition dans le monde des "vraies gens". Un peu de rangement puis j'ouvre les volets : Aiiiiiieeee, mal aux yeuuuux !!!!!!
Du soleil, oui, il y a du soleil !! Je suis un véritable zombi lorsque plus de trois jours passent sans l'apparition de ce fichu astre.
Hier soir, je discutais via Facebook avec nos potes qui se font la saison de plongée en Polynésie. Ils se plaignaient de leur merdique connexion au net. Ooooh, les pauvres, ils sont sur des plages paradisiaques, plongent dans des eaux idylliques, font des ballades pour lesquelles j'accepterais d'être damnée et pourtant leur connexion au net est lente.
Je veux bien leur échangé ma connexion surpersonic trop bonne et rapide, un truc de la mort qui tue, contre une heure ou deux passées dans leur région du monde d'où je ne bougerais pas d'un poil, juste je resterais à cramer au soleil, à prendre une bonne dose d'UV pas bons pour la santé pais tellement nécessaires à mon moral ...
Du coup, y'a pas à tortiller, cet après midi, j'enfile gros pull, écharpe, gros bonnet et ... lunettes de soleil. Je file faire le tour de la ville à pied. J'irais en prenant tout le long des quais où je ferais surement une bonne pause sur un banc histoire de m'imprégner un maximum de des rayons si chers et si rares ces jours-ci. Surement aussi que je passerais chercher une copine et qu'en souvenir du bon vieil été, on se fera une vraie terrasse telles deux starlettes emmitouflées sous trois ou quatre couches de polaire mais au moins, notre moral nous en remerciera !
Second réveil à 11h40 et oui, il faut bien ça quand on est en vacances. Cette fois, plus le choix, il faut affronter la dure réalité et se remuer un peu les fesses. P'tit dej', douche mais toujours pas envie de faire mon apparition dans le monde des "vraies gens". Un peu de rangement puis j'ouvre les volets : Aiiiiiieeee, mal aux yeuuuux !!!!!!
Du soleil, oui, il y a du soleil !! Je suis un véritable zombi lorsque plus de trois jours passent sans l'apparition de ce fichu astre.
Hier soir, je discutais via Facebook avec nos potes qui se font la saison de plongée en Polynésie. Ils se plaignaient de leur merdique connexion au net. Ooooh, les pauvres, ils sont sur des plages paradisiaques, plongent dans des eaux idylliques, font des ballades pour lesquelles j'accepterais d'être damnée et pourtant leur connexion au net est lente.
Je veux bien leur échangé ma connexion surpersonic trop bonne et rapide, un truc de la mort qui tue, contre une heure ou deux passées dans leur région du monde d'où je ne bougerais pas d'un poil, juste je resterais à cramer au soleil, à prendre une bonne dose d'UV pas bons pour la santé pais tellement nécessaires à mon moral ...
Du coup, y'a pas à tortiller, cet après midi, j'enfile gros pull, écharpe, gros bonnet et ... lunettes de soleil. Je file faire le tour de la ville à pied. J'irais en prenant tout le long des quais où je ferais surement une bonne pause sur un banc histoire de m'imprégner un maximum de des rayons si chers et si rares ces jours-ci. Surement aussi que je passerais chercher une copine et qu'en souvenir du bon vieil été, on se fera une vraie terrasse telles deux starlettes emmitouflées sous trois ou quatre couches de polaire mais au moins, notre moral nous en remerciera !