Vendredi 11 juin 2010

Et je m'ennuies ferme, croyez-moi !

Je suis au bureau jusqu'a 21h00. encore 35 mn à tenir.
Tenir, oui, mais comment ?

Plus de dossier en cours.
Pas envie d'en entamer de nouveaux, pas le temps surtout.

Ah, ce que je déteste quand les dernière minutes paraissent être des heures.
Dehors, les terasses sont pleines des gens qui eux ont fini de bosser, enfin je l'espère pour eux, sauf le nouveau beau petit serveur ... Moi aussi je devrais être en terasse, à siroter un verre, bien tranquillement installée, les lunettes de soleil sur le bout du nez ...

Je veux ter-mi-ner maintenant ! Bah, voyons ... Comme si, pouf, pouf, ça allait arriver comme ça ...

Jeudi 10 juin 2010

Pas envie, pas envie, pas envie !
http://lafillequi.cowblog.fr/images/Babla/travail.jpg
Je commence tout juste à aller mieux, les médocs font enfin leur effet. J’ai passé ma première nuit complète, sans me réveiller quinze fois à case d’une quinte de toux.
Et puis, je ne sais pas, mais cette journée, je ne la sens pas trop :
   - J’ai été réveillée en panique par l’interphone. La poste qui voulait me livrer un colis. J’ai eu beau répondre, hurler derrière l’appareil, rien à faire, le postier n’a rien entendu et pas moyen d’ouvrir la porte. Ah saleté d’appareil, ça fait des lustres que je dis qu’il déconne. Mais bizarrement seulement avec moi. Et bé mon colis, tant attendu, il est reparti au bureau de Poste. Et le pire, c’est que j’entendais le mec dire « bah, non, y a personne … » et la gardienne lui répondre, « bizarre, je ne les ai pas vu partir ». Croyez-vous qu’elle l’aurait pris, elle, mon colis, noooonnnn …
   - Ensuite, pour mon p’tit dej’, j’ouvre une brique de lait, et là, splashhhhh, par terre. Y’a que mes chats qui étaient fan
   - Une fois tout nettoyé, je prends mon plateau pour aller déjeuner dans le canapé, et baaamm, le petit orteil direct dans le pied du fauteuil ! Et si vous saviez à quel point je suis une chochotte pour ces petits bobos, vous sauriez à quel point j’ai maudit celle qui, hier, a eu l’envie saugrenue de changer le fauteuil de pace : Moi.
Et pour couronner le tout, il fait un temps des plus pourris …
Bon, bah, malgré tout, il faut reprendre la direction du bureau. Une semaine que je n’y ai pas mis les pieds. J’appréhende déjà la pile de dossiers à traiter, les chiffres à rentrer, les clients à rappeler, les potins à rattraper, … la seule chose qui me plait, c’est la note de frais et les heures supp’ que je vais leur annoncer.
Quoi qu’il en soi, je retrouve peu à peu la patate et ça fait franchement du bien !
Une bonne journée à tous.

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